Description de la cité de Lapiaz

Par Président, Sam 03 Juin 2006

Lapiaz est situé entre le fleuve 'Calcit' et les marais salants (et a moustique) de 'lagonie'.
De grande prairie entoure la cité ainsi que quelques bois touffue. Lapiaz est a un jour de cheval de Gaalen et de Karst.



(édité par Président le Lu 15 Oct 2007: changement de l'image de la cité)

Par Sir, Sam 10 Juin 2006

Le terrain était infesté de moustiques, l'atmosphère transpirée d'humidité et les marrais qui bordés les environs éloignés encore plus physiquement le coeur de la cité du reste de la Kiponie.

Pourtant, Lapiaz se devait de faire la différence pour se sauver du désespoir théorique dans lequel sa position géographique l'avait situé.

Et cela avait été tout de suite un succès fulgurant.

A peine entrée dans la cité, le virevoltage des colons, commerçants de tout horizon vous emporté dans une excitation sensoriel ennivrante.

Les entreprises à peine construites, les maisons sortants juste de terre et les terre agricole à peine cultivée n'empêchait pas le développement de l'activité commerciale.

Or, bijoux, outils, cailloux, bois, planches tout s'échangeait déjà .

Le sentiment de profonde Liberté qui ressortait de la cité attirait les foules venant des quatres coins de kiponie pour commercer .

La population doublait chaque jour et les besoins suivaient tout autant.

Sur les marchés toutes sortes de produits s'échangeait librement partant fournir le reste de la kiponie.

Dans la poussière légère des terres calcaires, on croisait tout autant les plus hauts personnages de Kiponie que les plus grands malfrat.

Des navettes permanente entre Lapiaz et Kipie, Gaalen ou Gypsis permettait des approvisionnements réguliers et des expéditions continuelles.

A l'image des caraibes lointaines, la totale liberté, loin des taxes, des impots dont jouissait Lapiaz et l'importance de cette plateforme commerciale, faisait toute l' attraction de Lapiaz.

Un vent de la liberté soufflait sur la kiponie et entrait par la porte de Lapiaz.

Par Sir, Lun 10 Juil 2006

En quelques jours, la cité de Lapiaz s'était considérablement agrandie.

Déjà elle talonnait de près la cité de Gypsis la plus grande de Kiponie en terme de population.

Les faubourgs s'étaient largement agrandis sur les Marais . Des planches de bois se succédaient formant d'étranges rues au contour des maisons de différentes tailles.

Le commerce était des plus fleurissants, les marchandises venaient des quatres coins de Kiponie et repartaient aussi vite .

Paradoxalement, la cité étaient très peu industriels privilégiant sans doute des activités plus proches de la nature comme la coupe du bois ou la pêche.

D'ailleurs cette dernière connaissaient un essort important que traduisaient les multiples bateaux qui s'attachaient aux planches de bois se balançant au rythme de la houle ...

Lapiaz sentaient bon la richesse mais elle cachaient aussi une très grande misère...

Par Sir, Jeu 13 Juil 2006

Le soleil brillait de ses milles feux, en cette journée de Ventose de l'an 25.

Le village de Lapiaz qui avait grossit de façon exponentielle ces derniers jours, était parcouru d'une fébrilité que l'on ne voyait que très rarement tant ce village de commerçants, de bucherons et de pêcheurs étaient généralement occupé dans ses multiples activités.

Depuis de nombreux jours on entendait les maçons parmis les plus renommés (fred85, wihlem,..) se relayer sur le flanc ouest de la cité .
Le chantier naval se construisait petit à petit.

Bien sur on avait déjà été impressionné par les barques qui prenaient l'eau chaque jour au travers des planches usées qui servaient encore de quais. Mais là, le chantier était gigantesque et nulle doute qu'une lougre sortirait bientôt des entrelas de matériaux voile, outils amoncelés non loin du chantier.

L'événement était majeur et la population s'était donné rendez vous pour l'inauguration le soir même .

Par Sir, Sam 29 Juil 2006

Méconnaissable ...

Le gel, sortant des profondeurs de l'oubli en ce Messidor de l'an 26, recouvrait les constructions de pierre de Lapiaz de sa pélicule argentée et donnait à la cité un visage que l'on avait rarement l'occasion de lui voir .

Lapiaz n'était plus la même, plus de 26 établissements s'étaient installés en quelques mois et quasi touteS les industries étaient maintenant représentées.

Bientôt une bijouterie ouvrirait , face à la rue la plus riche de Lapiaz qui réunissaient bien souvent les massives villa de riches habitants pourtant rarement à Lapiaz.

Mais cette bijouterie marquaient visiblement l'enrichissement de la cité car il devenait clair que les habitants les plus anciens devraient marquer leur prestige par des bijoux toujours trop voyant mais tant à la mode en Kiponie.

Cependant le chomage sévissait encore et de nombreux kiponiens n'avaient d'autres recours que d'aller couper du bois dans la forêt.

Le bois transitait désormais via le port qui s'était agrandi dans toute la kiponie et des marchands quasiement chaque jours venaient récolter les marchandises que les bucherons mettaient sur le marché .

La cité restait encore malgrès tout d'une grande pauvreté malgrès l'activité industielle en pleine expansion, et même si les cheminées industrielles montaient toujours plus haut comme pour marquer la renommée de leur propriétaire, les bas fonds de Lapiaz entre port de pêche et forêt regorgés d'ouvriés toujours avides de s'investir.

Paradoxalement, la politique de vente de poisson contribuait à renforcer au sens propre les habitants de Lapiaz qui se faisait une renommée de leur force physique. Surtout cela leur permettait à la grande stupeur des touristes industriels de répondre a tous les postes y compris les qualifications les plus élevés.

Aucun hasard n'expliquait que Lapiaz était devenu la cité la plus peuplée de Kiponie , seule la volonté de sa population, isolée du reste de la kiponie pouvait permettre de le comprendre .

C'est dans la hargne que se construisent les richesses, pour les hommes comme pour les villes .

Bien que jeune et assise sur les planches fragiles qui recouvraient les marrais désormais asséchés par la culture intensives (de fruits notamment) , Lapiaz se créait un avenir des plus riches en kiponie .

Et elle ne le devait qu'à elle même .

Par Sir, Mer 30 Aoû 2006

Depuis quelques mois la situation de Lapiaz avait bien durement évoluée.

Les bateaux qui auparavent sillonait les mers et apportaient leur large cargaison de poissons sur Lapiaz pour approvisionner la Kiponie se faisait rares et lapiaz en cette matière arrivait à peine a s'autosuffire.

Les marchés était en surabondance dans bien des domaines notamment dans les biens intermédiaires pour lesquels les prix s'étaient effondrés.

La politique socialiste puis la volonté du président qui s'était imposée après la débandade socialiste développent à l'extrème la légion alors que les caisses de la cité étaient vides, avaient eu pour effet la dégradation scandaleuse des infrastructures.

Il semblait malheureusement que la vie économique Lapiazinne allait errante sans stratégie depuis plusieurs mois, entrainant dans son sillage le désespoire des habitants .

Si les usines de plus en plus nombeuses sur les planches maintenant vermoulues qui recouvraient les marrais, dessinaient l'horizon de leur ombre sans vie, une grande majorité d'entre elle tournait à vide non pas par manque de main d'oeuvre mais par manque d'attrait pour leurs industriels ...

Enfin, peu d'animation culturelle animaient la cité ...

lapiaz s'endormaient sur des lauriers trop vite acquit